| Abbe Fer̕aud, Jean-François Féraud - 1787 - 782 pages
...HARDIESSE. Rem. Efronté , ne se dit que des persones.Boileau. a pourtant dit , dans sa xc Satire : Se font, des mois entiers . sur un lit effronté , Traiter d'une visible et parfaite santé. Mais ce sont des figures hardies, aprouvées dans les Poètes, et qu'on ne doit pas imiter en prose... | |
| tome premier - 1800 - 354 pages
...parler. Dis-moi donc, laissant là cette folle hurler, T'accommodes-tu mieux de ces douces Ménadrs (4) Qui, dans leurs vains chagrins, sans mal toujours...effronté, Traiter d'une visible et parfaite santé ; Kt douze fois par jour, dans leur molle indolence, (i) C'est un nœud de ruban que les femmes mettent... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...parler. Dis-moi donc, laissant là cette folle hurler, T'accommodes-tu mieux de ces douces Ménadrs (4) Qui, dans leurs vains chagrins, sans mal toujours...effronté, Traiter d'une visible et parfaite santé ; lit douze fois par jour, dans leur molle indolence, (î) C'est un nceud de ruban que les femmes mettent... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 pages
...parler. Dis-moi donc , laissant là cette folle hurler , T'accommodes-tu mieux de ces douces Ménades (4) Qui, dans leurs vains chagrins, sans mal toujours...effronté, Traiter d'une visible et parfaite santé ; Et douze fois par jour, dans leur molle indolence , (i) C'est un ucend de ruban que les femmes mettent... | |
| Jean-François de La Harpe - 1798 - 526 pages
...les femmes, qu'il s'était servi de cette expression ; T'accommodes-tu mieux de ces douces Ménadcs Qui, dans leurs vains chagrins, sans mal toujours...effronté, Traiter d'une visible et parfaite santé ? Je louerai volontiers le dernier vers. II ya vraiment de l-'art à cette contradiction apparente... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 374 pages
...mieux de ces douces Ménades Qui, dans 'eurs vains chagrins, sans mal toujours malades, Se font d.-s mois entiers , sur un lit effronté } Traiter d'une visible et parfaite santé ? Je louerai volontiers le dernier vers. H ya vraiment de l'ar t à cette contradiction apparente :... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 386 pages
...parler. Dis-moi donc, laissant là cette folle hurler, T'accommodes-tu mieux de ces douces Ménades (2) Qui, dans leurs vains chagrins, sans mal toujours malades, Se font des mois W1tiers , sur un lit effronté , Traiter d'une visible et parfaite santé ; Et douze fois par jour,... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 602 pages
...parler. Dis-moi donc, laissant là cette folle hurler, T'accommodes-tu mieux de ces douces Ménades Qui , dans leurs vains chagrins, sans mal toujours...effronté ' , Traiter d'une visible et parfaite santé 2 ; Et douze fois par jour, dans leur molle indolence, Celsa petit, tacitumqne obsedit limcn Amatac.... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 478 pages
...T'accounnodes-iu mieux de ces douces Ménades Qui , dans leurs vains chagrins, sans mal toujours malade.-. Se font des mois entiers, sur un lit effronté ', Traiter d'une visible et parfaite snnté • ; Et douze foi» par jour, dans leur molle indolence, Col« polit, MrllUnX|lir olnrilit... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 616 pages
...convient peut-être mieux à Messaline n qu'à une femme qui, comme dans la satire françoise, Se fait des mois entiers, sur un lit effronté, Traiter d'une visible et parfaite santé. « On sait que cette expression fut très critiquée dans le dernier siècle. « Le prince de Conti,... | |
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