Nouvelle-France: Documents historiques. Correspondance échangée entre les autorités françaises et les gouverneurs et intendants. Vol. I. [1620-1685], Volume 1

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L.J. Demers & frère, 1893 - 244 pages
 

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Popular passages

Page 101 - ... et la présente n'étant pour autre fin, je prie Dieu qu'il vous ait, monsieur le chevalier de Lance, en sa sainte garde.
Page 99 - Providence; et c'est pour lui rendre les actions de grâces qui lui en sont dues que je vous fais cette lettre, pour vous...
Page 21 - Comme il importe au bien de mon service de diminuer autant qu'il se pourra le nombre des Iroquois, et que d'ailleurs ces sauvages, qui sont forts et robustes, serviront utilement sur mes galères, je veux que vous fassiez tout ce qui sera possible pour en faire un grand nombre prisonniers de guerre, et que vous les fassiez passer en France.
Page 99 - Bussy en la dite qualité selon et ainsi que vous le jugerez convenable pour le bien de mon service, et la présente n'étant pour autre fin, je prie Dieu qu'il vous ait, Mons.
Page 100 - Magistrats, je vous écris cette lettre pour vous dire que mon intention est que vous fassiez...
Page 208 - ... mais il est bon que vous observiez que, comme vous devez toujours suivre dans le gouvernement et la conduite de ce pays-là les formes qui se pratiquent ici, et que nos rois ont estimé du bien de leur service depuis longtemps de ne point assembler les états généraux de leur royaume, pour peut-être anéantir insensiblement cette forme ancienne, vous ne devez aussi donner que très rarement, et pour mieux dire jamais, cette forme au corps des habitants...
Page 125 - A quoi voulant pourvoir : ouï le rapport et tout considéré; Le Roi, étant en son Conseil, de l'avis de M. le...
Page 8 - ... maintenir les peuples qui composent cette grande colonie dans la possession légitime de leurs biens et dans une union parfaite entre eux, ce qui pourra produire avec le temps une augmentation considérable, qui est la fin principale où Sa Majesté désire parvenir.
Page 8 - Talon sera informé que ceux qui ont fait les relations les plus fidèles et les plus désintéressées de ce pays ont toujours dit que les Jésuites , dont la piété et le zèle ont beaucoup contribué à y attirer les peuples qui y sont à présent, y ont pris une autorité qui passe au delà des bornes de leur véritable possession , qui ne doit regarder que les consciences.
Page 59 - Pontoise, je vous fais cette lettre de l'avis de mon oncle le duc d'Orléans, Régent, pour vous enjoindre et ordonner de vous y transporter, toutes affaires cessantes, dans deux fois vingt-quatre heures, pour y rendre la.

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