| Jean Baptiste Say - 1833 - 692 pages
...civiles, les bons marchands, « les bourgeois rentes et les mieux acconnuo« dés, on ne peut pas compter sur cent mille « familles. Et je ne croirais pas mentir, quand « je dirais, poursuit Vauban , qu'il n'y en a « pas dix mille, petites ou grandes, qu'on piusse « dire fort à... | |
| Blanqui (M., Adolphe-Jérôme) - 1837 - 952 pages
...et civile, les bons marchands, les bourgeois reniés et les plus accommodés, on ne peut pas compter sur cent mille familles et je ne croirais pas mentir,...quand je dirais qu'il n'y en a pas dix mille petites ou grandes, qu'on puisse dire être fort à leur aise. » Le maréchal de Vauban avail élé frappé,... | |
| 1840 - 888 pages
...civile , les bons marchands , les bourgeois rentes et les plus accommodés , on ne peut pas compter sur cent mille familles ; et je ne croirais pas mentir,...quand je dirais qu'il n'y en a pas dix mille petites ou Bandes qu'on puisse dire fort à leur aise.... » Certes , quel que soit l'état présent de la... | |
| Louis René Villermé - 1840 - 466 pages
...civile, les bons marchands, « les bourgeois rentes et les plus accommodés , on « ne peut pas compter sur cent mille familles; et je « ne croirais pas...je dirais qu'il n'y « en a pas dix mille petites ou' grandes qu'on puisse « dire fort à leur aise (i) « La cherté du sel le rend si rare, qu'elle... | |
| Louis René Villermé - 1840 - 466 pages
...civile, les bons marchands, « les bourgeois rentés et les plus accommodés, on « ne peut pas compter sur cent mille familles; et je « ne croirais pas...je dirais qu'il n'y « en a pas dix mille petites ou grandes qu'on puisse « dire fort à leur aise (1) « La cherté du sel le rend si rare, qu'elle... | |
| Société industrielle de Mulhouse (France) - 1842 - 646 pages
...civile, les bons njarchands, les bourgeois rentés et les plus accommodés, on ne peut pas compter sur cent mille familles; et je ne croirais pas mentir,...quand je dirais qu'il n'y en a pas dix mille, petites ou grandes, qu'on puisse dire fort à leur aise. » Depuis la publication du Projet d'une dixme royale,... | |
| Adolphe-Jérôme Blanqui - 1842 - 502 pages
...maréchal de Vauban comme l'auteur véritable de la Dime royale, faussement attribuée à Boisguilbert. cent mille familles, et je ne croirais pas mentir,...quand je dirais qu'il n'y en a pas dix mille petites ou grandes, qu'on puisse dire être fort à leur aise. » Le maréchal de Vauban avait été frappé,... | |
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