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Amboiras.

Bazeuge.
Bazeugette.

Les Barnagaud.

La Boissonnie.

Boisbarra.

Bois-du-Duveix.

Bois-Lavaud.

Champsagna ou Chassagna.

Champvert. Les forges de Champvert sont estimées pour les fers durs qu'elles produisent.

Le Cheyroux.
Chez-le-Grillat.

La Côte.

Le Cros-Loup.

La Fouillade. · Près de ce village se trouvent des excavations portant le nom de camp retranché, mais qui doivent être l'œuvre des ouvriers qui recherchaient le minerai de fer. Le nom même de ce village rappelle les fouilles qui y ont été faites.

Fourmont.

Gardenet.

Larest.

Larfouillère.

Les Martyrs.

Masdubert.

Mauloup. Ce lieu est situé sur le plan incliné d'une colline. Tout auprès se trouve une motte ou tumulus. On voit aussi des excavations autour d'un espace aplani appelé, comme à la Fouillade, camp retranché.

Le Mazaudois.

Moulin de Chauzas.

Moulin de las Gorceis.

Nouailhas. Ce village appartenait aux religieuses Ursulines d'Eymoutiers. Melchior de la Tour, sieur de las Nouailhas, fut nommé maréchal-de-camp en 1648, mestre-de-camp d'un régiment d'infanterie en 1649, et en 1665 gouverneur de Portolongone, petite ville très-forte dans l'île d'Elbe, dont les Français s'étaient emparés en 1646. (Nobil., 1, 251.)

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Nouailhas (moulin de), sur la Briance.

Parinet (moulin de), sur la Briance.

La Peyre doit probablement son nom au dolmen signalé ci-après au village de Reyneix.

Peyroux.

Planche-Bonnet.

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Le Pont. C'est probablement le fief de Pont-Feuille, que possédait dans cette paroisse Charles de Bony de la Vergne, sur la fin du xvII° siècle. Marie de Bony, fille unique de ce dernier, qui n'eut point d'enfants de son mariage avec Léonard des Pousses, écuyer, sieur de Rougieras, et qui mourut à 85 ans, le 30 octobre 1748, en fit don à Mathurin Davril, mort chanoine de la cathédrale de Limoges en 1762. (Nobiliaire, t. III, p. 380). — L'abbé Joseph Mazaudois, curé de Saint-Amand-le-Petit, prêtre insermenté, âgé de 71 ans, habita ce village pendant presque toute la tourmente révolutionnaire. Il administrait les sacrements, instruisait les enfants, sans être inquiété de personne. Il était caché avec sollicitude par les habitants, qui contraignirent le curé assermenté à prendre la fuite. Il fut obligé cependant de quitter ce village, et fut un des derniers reclus à la Visitation de Limoges, où il entra le 3 ventôse de l'an Iv.

Le Poumeau ou Pommel, Pommellum. Dans ce

village on voit des ruines que les habitants du lieu assurent avoir été une ancienne chapelle des Ursulines. Le terrain qui les entoure contient des vestiges de tombes. C'était un prieuré, qui était ruiné à la fin du siècle dernier. Son existence est cependant constatée en 1783. L'abbé de Meymac y nommait les titulaires dès 1492. Nous trouvons une nomination faite en 1718 par le chapitre des religieux de Meymac, l'abbaye étant vacante. Le Pouyol.

Las Pradas.

Le Puyfraud.

Le Puy-Guillaume.
Puy-Tolard.

Reilhac.

Reyneix.

Près de ce village se trouve un camp retranché d'une étendue considérable. Autrefois on voyait dans ce lieu un dolmen dont la table était supportée par trois pierres. Par ses dimensions il égalait, dit-on, celui qui est à Pouyol, commune d'Eybouleuf. C'est probablement lui qui a donné son nom au village de la Peyre, qui est tout auprès.

G

Ribière. On trouve dans les champs le reste d'un château qui pourraît être gallo-romain.

Rilhaguet.

Rivaud.

Las Rochas.

La Roche (moulin de), sur la Briance.

Le Rouchaud.

Las Solas.

Tenèze.

Las Trenchodas.

La Valade.

Verdeyme ou Verneyne, Verzesma.

Prieuré, ruiné à la fin du siècle dernier, auquel nommait le prieur d'Aureil. Noble Emme de Tudella, qui se fit religieux dans la forêt d'Aureil, donna cet endroit à saint Gaucher sur la fin du XIe siècle. Près de ce village se trouve une carrière d'un minerai qui est très-brillant.

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La Vialle. C'est au château de la Vialle qu'est décédé, en 1873, M. Simon-François-Prosper Allouveau de Montréal, né à la Bachellerie, paroisse de Saint-Jouvent, le 14 septembre 1791. Elève de l'Ecole militaire en 1809, capitaine au 10° de ligne en 1813, çolonel du 75o de ligne en 1840, général de brigade en 1848, général de division en 1852, commandant la division d'occupation des ÉtatsRomains le 3 janvier 1853, grand-officier de la Légiond'Honneur, grand'croix de Saint-Grégoire-le-Grand, grand'croix de l'Ordre de Pie IX, commandeur de l'ordre portugais de Saint-Benoit-d'Aviz, chevalier de Saint-Ferdinand d'Espagne et de Saint-Léopold de Belgique, sénateur.

Saint-Gilles-les-Forêts, appelé aussi la Forêt-SaintGilles, qu'il ne faut pas confondre avec Saint-Gilles près Eymoutiers. Ce dernier était un prieuré de l'archiprêtré de Chirouze. La tradition locale veut voir ici une ancienne commanderie de l'Ordre de Malte. Les archivés du diocèse ne nous font connaître qu'une prévôté et une cure ayant également saint Gilles pour patron, et auxquelles nommait l'abbé de Meymac dès 1408. Elles étaient de l'officialité, de la sénéchaussée et de la généralité de Limoges, de l'archiprêtré de la Porcherie, et du parlement de Bordeaux. Aujourd'hui cette commune a 828 hectares et 268 habitants.

Il existe une inscription à l'église paroissiale; elle est

placée à l'extérieur, derrière l'autel principal.-En 1854, on a trouvé dans un pacage une pièce d'or à l'effigie de Philippe le Bel.

Charles Gratien de Bonneguise était de la paroisse de Saint-Gilles-les-Fôrets (1766). - Jean de Bonneguise fut sacré évêque d'Arras le 22 octobre 1752, et mourut avant 1774. (Nobiliaire, I, 225.)

Les villages qui composent cette commune sont :
La Branche.

Boëme (moulin de la), sur le ruisseau d'Indiou, affluent de la Combade.

Burges (moulin de la), sur la Combade.

Excidioux.

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Ce village, qu'il ne faut pas confondre

avec un autre du même nom paroisse de Neuvic, servit de refuge à des religieuses ursulines pendant la Révolution.

La Fôret-Basse.

La Fôret-Haute.

Leygonterie.

Pouveras.

La Ribeyrie.

Antique demeure de la famille de Maumont, et principalement de la branche qui porte ce nom, ce château, à l'époque des guerres de religion, fut occupé par les calvinistes.

La Ribeyrie (moulin de), sur le ruisseau d'Intrat.

Le mont Gargan ou Jarjan est un des points les plus élevés du département de la Haute-Vienne. Son sommet atteint 731 mètres au-dessus du niveau de la mer. Ce nom, dont nous ne voyons pas l'étymologie, lui est commun avec plusieurs autres montagnes, telles que le mont Gargan dans la Capitanate, au royaume de Naples, sur lequel eut lieu l'apparition de saint Michel à la fin du ve siècle.

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