Études littéraires et historiques, Volume 1Didier, 1858 - 4 pages |
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affaires aristocratie assemblée autorité avaient Barbier Beauvilliers Bossuet c'était caractère cardinal de Richelieu Choiseul choses citoyens conditions conscience conseillers conseils constitution constitution de 1793 Cosnac cour déclaration délibération despotisme devait devoir Dieu dire donner duc de Bourgogne esprits États eût exercé Fénelon François Ier garanties gens gloire gouvernement guerre hommes institutions intérêts jugement justice l'administration l'autorité royale l'égalité l'esprit l'État l'opinion laisser législateur Lemontey lettres liberté lois Louis XIV Louis XVI madame de Maintenon madame de Pompadour marquis de Villette Mathieu Molé Mémoires ment ministres mœurs monarchie morale n'avait n'était nation nécessaire opinions paix Parlement passé passions pensée personne politique pouvait pouvoir absolu premier président prendre présent prince prince de Condé principe procureur général publique puissance raison règle règne de Louis Reine religion remontrances respect révolution rien royaume s'était Saint-Simon sédition semble sentiment serait seulement siècle social société sorte souverain suffrage tion trouve tyrannie vérité volonté
Popular passages
Page 149 - On vous a élevé jusqu'au ciel, pour avoir effacé, disait-on, la grandeur de tous vos prédécesseurs ensemble, c'est-à-dire pour avoir appauvri la France entière, afin d'introduire à la cour un luxe monstrueux et incurable.
Page 204 - Les Députés du peuple ne sont donc, ni ne peuvent être, ses représentants; ils ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement.
Page 149 - Les restes de cette secte vont tomber peu à peu dans une indifférence de religion pour tous les exercices extérieurs , qui doit faire trembler. Si on voulait leur faire abjurer le christianisme, et suivre l'Alcoran , il n'y aurait qu'à leur montrer des dragons.
Page 103 - Voici une lettre qu'on lui a écrite il ya deux ou trois ans. Il faudra me la rendre : elle est bien faite ; mais de telles vérités ne peuvent le ramener : elles l'irritent ou le découragent ; il ne faut ni l'un ni l'autre, mais le conduire doucement où l'on veut le mener.
Page 77 - Eh! quand cela serait, interrompit le roi, tout d'un coup avec colère, qui jusque-là n'avait dit mot , qu'est-ce que cela me ferait ? Est-ce qu'elle n'a pas déjà un fils? et quand il mourrait , est-ce que le duc de Berry n'est pas en âge de se marier et d'en avoir ? et que m'importe qui me succède des uns ou des autres? Ne sont-ce pas également mes petitsfils»?
Page 84 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné, et qui achèvera de se briser au premier choc.
Page 149 - Peut-on trop abhorrer et trop mépriser des hommes qui ont tellement oublié l'humanité ? Non , non, bien loin d'être des demi-Dieux...
Page 186 - II est sans doute certaines occasions où tenant pour ainsi dire la place de Dieu, nous semblons être participants de sa connaissance, aussi bien que de son autorité...
Page 227 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user, en tout temps, comme de sages économes, c'esl-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 102 - Le peuple même (il faut tout dire), qui vous a tant aimé, qui a eu tant de confiance en vous, commence à perdre l'amitié, la confiance, et même le respect. Vos victoires et vos conquêtes ne le réjouissent plus; il est plein d'aigreur et de désespoir. La sédition s'allume peu à peu de toutes parts. Ils croient que vous n'avez aucune pitié de leurs maux, que vous n'aimez que votre autorité et votre gloire.