| Barry Edward O'Meara - 1824 - 502 pages
...retrouver. » Un jour, comme nous étions seuls, il tira le manuscrit de sa poche, et, croyant nie faire la cour, me le remit entre les mains, en me demandant...mon écriture, et je le jetai au feu , où il fut consommé en dépit cle Talleyrand , qui ne put le sauver. Comme il ne l'avait pas fait copier auparavant... | |
| Napoleon I (Emperor of the French) - 1827 - 426 pages
...retrouver. « Un jour, comme nous étions seuls, il tire le manuscrit de sa poche, et croyant me faire la cour, me le remit entre les mains, en me demandant si je le connaissais. Je reconnus aussitôt mou écriture, et je le jetai au feu, OÙ il fut consumé en dépit de Talleyrand, qui ne put le sauver.... | |
| 1837 - 536 pages
...« il tira le manuscrit de sa poche, et croyant me faire la « cour, me le remit entre les mains , me demandant si je « le connaissais. Je reconnus...ne l'avait pas fait copier « auparavant, il parut très-mortifié de cette perte. J'en fus « au contraire très- satisfait, parce qu'il abondait en... | |
| 1837 - 504 pages
...•< il tira le manuscrit de sa poche, et croyant me faire la <> cour, me le remit entre les mains , me demandant si je « le connaissais. Je reconnus...où il fut consumé en dépit de Talleyrand, « qui ae put le sauver. Comme il ne l'avait pas fait copier « auparavant, il parut très-mortifié de cette... | |
| 1857 - 548 pages
...retrouver. Un jour, comme nous étions seuls, il tira le manuscrit de sa poche, et croyant me faire la cour, me le remit entre les mains, en me demandant si je le reconnaissais. Je reconnus aussitôt mon écriture , et je le jetai au feu où il fut consumé en dépit... | |
| Émile Marco de Saint-Hilaire - 1867 - 232 pages
...étions seuls, Talleyrand tira le manuscrit de sa poche; puis, croyant me plaire et me faire sa cour, il me le remit entre les mains, en me demandant si je le connaissais. J'en reconnus aussitôt l'écriture et je le jetai au feu, où il fut consumé en dépit des efforts... | |
| Barry Edward O'Meara - 1897 - 522 pages
...retrouver. » Un jour, comme nous étions seuls, il tira le manuscrit de sa poche, et, croyant me faire la cour, me le remit entre les mains, en me demandant...aussitôt mon écriture, et je le jetai au feu, où il fut consommé en dépit de Talleyrand, qui ne put le sauver. Comme il ne l'avait pas fait copier auparavant,... | |
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