marbre qu'il relégua sans destination dans une des chapelles supérieures de la basilique, et détacha de ce corps un des bras qu'il envoya à l'abbé, le 27 mars 1703. L'année suivante l'abbé, reconnaissant, gratifiait sainte Olive et le chapitre d'un don de cent écus d'or. Cet or fut employé comme on était capable de le faire alors: on plaqua de stucs dorés toute la travée, l'autel fut reconstruit à neuf, la statue de la sainte fut placée dans une ouverture qui devait donner de sa lumière à l'autel et cette inscription fut peinte en lettres d'or au commencement de l'œuvre : A tout ce remaniement, la crypte de saint Magne a perdu une travée historiée et une représentation de sainte Olive, qui tenait d'une main une branche d'olivier et de l'autre un bouquet de fleurs 1; comme art, elle n'a absolument rien gagné. X. BARBIER DE MONTAULT. 4. L'évêque Lauri l'a fait graver sur acier. Le dessin et la gravure sont détestables. |