L'histoire: entretiens sur l'évolution historiqueSchleicher frères, 1897 - 691 pages |
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Popular passages
Page 45 - J'ai accompli ces choses par le conseil de ta bouche, ô Ammon ! et je n'ai pas transgressé tes conseils : voici que je t'ai rendu gloire jusqu'aux extrémités de la terre ! » Songez qu'il se trouve sur un champ de bataille, que les Syriens l'entourent et qu'il est seul contre tous.
Page 600 - qu'il avoit grand pitié de lui , le voyant en » cet estât , pour avoir esté si vertueux chevalier. » Le capitaine Bayard lui fit réponse, monsieur, » il n'ya point de pitié en moi, car je meurs » en homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, » de vous voir servir contre votre prince, et » votre patrie, et votre serment. Et peu après .» ledit Bayard rendit l'esprit , et fut baillé sauf» conduit à son maistre-d' hôtel, pour porter son u corps en Dauphiné dont il estoit natif.
Page 569 - Les lois religieuses, at-il dit, comme tout ce qui se trouve sur la terre, sont sujettes au changement et à la destruction. — Souvent les effets de la foi ne semblent pas différer des effets de l'imagination. — Le but de la religion n'est pas la recherche de la vérité pure; c'est une influence pratique, accompagnée de promesses et de menaces capables de secouer les intelligences puériles et grossières qui ne savent porter leur fardeau, comme les ânes, qu'après avoir reçu des coups.
Page 33 - ... quatre, à deux faces, à deux têtes, l'une d'homme et l'autre de femme, sur un seul corps, et avec les deux sexes en même temps ; des hommes avec des jambes et des cornes de chèvre ou des pieds de cheval ; d'autres avec les membres postérieurs d'un cheval et ceux de devant d'un homme, semblables aux hippocentaures.
Page 576 - ... ces découvertes des Portugais dans l'ancien monde que nous devons le nouveau , fi pourtant c'eft une obligation que cette conquête de l'Amérique, fi funefte pour fes habitans, &: quelquefois pour les conquérans mêmes. C'eft ici le plus grand événement fans doute de notre globe , dont une moitié avait toujours été ignorée de l'autre.
Page 338 - Trouvent-ils de la résistance, ils se dispersent, mais pour revenir avec là même rapidité, enfonçant et renversant ce qui se rencontre sur leur passage. Toutefois, ils ne savent ni escalader une place forte, ni assaillir un camp retranché. Rien n'égale l'adresse avec laquelle ils lancent, à des distances prodigieuses, leurs flèches armées d'os pointus, aussi durs et aussi meurtriers que le fer. Ils combattent de près, avec...
Page 45 - ... manque dans leur poitrine et la peur énerve leurs membres. Ils ne savent plus lancer leurs traits et ne trouvent plus de force pour tenir leurs lances. Je les précipite dans les eaux, comme y tombe le crocodile: ils sont couchés sur leur face, l'un sur l'autre, et je tue au milieu d'eux. Je ne veux pas qu'un seul regarde derrière lui, ni qu'un autre se retourne : celui qui tombe ne se relèvera pas».