Le livre du pauvreLibrairie des Livres Liturgiques, 1847 - 276 pages |
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... hommes d'État , la question du paupérisme ( 1 ) , et je l'ai traitée sous le triple rapport de la politique , de la philosophie et de la religion . Mais au lieu de vouloir connaître exactement le nombre des indigents qui encombrent les ...
... hommes d'État , la question du paupérisme ( 1 ) , et je l'ai traitée sous le triple rapport de la politique , de la philosophie et de la religion . Mais au lieu de vouloir connaître exactement le nombre des indigents qui encombrent les ...
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... hommes les plus sages , tout en rendant justice aux intentions du législateur , l'accusent d'erreur et d'imprévoyance . — La taxe , en 1817 , s'est élevée à 200,000,000 de francs , et depuis elle a encore augmenté . Avant 1834 , à peine ...
... hommes les plus sages , tout en rendant justice aux intentions du législateur , l'accusent d'erreur et d'imprévoyance . — La taxe , en 1817 , s'est élevée à 200,000,000 de francs , et depuis elle a encore augmenté . Avant 1834 , à peine ...
Page 26
... hommes favorisés de la fortune , est heureuse- ment encore une exception . ( 2 ) « Chez certains grands propriétaires s'est introduit le louable usage de contracter avec le médecin de la localité la plus rapprochée un abonnement , où se ...
... hommes favorisés de la fortune , est heureuse- ment encore une exception . ( 2 ) « Chez certains grands propriétaires s'est introduit le louable usage de contracter avec le médecin de la localité la plus rapprochée un abonnement , où se ...
Page 28
... hommes réduits à une souffrance plus vive et à des tortures morales dont on ne suppose pas l'éten- due . >> ( ROSELLY DE LORGES . ) Arrivons à des détails moins navrants . Si dans chaque village il est des misères qu'on peut à peine ...
... hommes réduits à une souffrance plus vive et à des tortures morales dont on ne suppose pas l'éten- due . >> ( ROSELLY DE LORGES . ) Arrivons à des détails moins navrants . Si dans chaque village il est des misères qu'on peut à peine ...
Page 32
... homme rustique , la profession de médecin et d'infirmier ! On nous a montré près d'un moulin , sous des saules , dans une prairie , une pe- tite maison qu'avaient occupée trois Sœurs Grises . C'était de cet asile champêtre qu'elles ...
... homme rustique , la profession de médecin et d'infirmier ! On nous a montré près d'un moulin , sous des saules , dans une prairie , une pe- tite maison qu'avaient occupée trois Sœurs Grises . C'était de cet asile champêtre qu'elles ...
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Le Livre du Pauvre: Devoirs de Celui Qui Donne Et de Celui Qui Reçoit, de la ... Adrien Egron No preview available - 2017 |
Le Livre du Pauvre: Devoirs de Celui Qui Donne Et de Celui Qui Reçoit, de la ... Adrien Egron No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
agricole âme asile associations aumônes Babœuf besoins bienfaisance bienfaiteurs bonnes œuvres campagnes capital cent champart Charles Fourier chose chrétienne cinquième concile d'Orléans classe cœur colonie commun communauté consolation crèches CRÉMYLE dévouement Dieu donner enfants Esséniens établissements faim famille femme fille fortune Fourier François Ier frère de Saint-Jean-de-Dieu frères heureux hommes hôpitaux humaine indigents indus industriel j'ai jamais Jésus-Christ jour l'agriculture l'argent l'association l'aumône l'avare l'Église l'homme l'humanité l'indigent laisse livre Louis XIV Lycurgue main maison malades malheureux maux mendiants mendicité ment mille misère monde mône Monthyon morale Moraves morcellement moyen âge nourrir orphelins pain pauvres pauvreté père personnes peuple philanthropie philosophie Pierre Leroux porte propriétaires propriété qu'un quelquefois religieux religion reste riche richesses rien Robert Owen saint Saint-Simon Saint-Simoniens secours Seigneur sentiment sera sesterces seul siècle sociale société soins sorte souffrances souffre soulager souvent terre tion travail travailleurs trouve vertu vêtements veuve vices vieillard vres
Popular passages
Page 60 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 58 - Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi! — et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 59 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 266 - J'attrape le bout de l'année ; Chaque jour amène son pain. — Eh bien, que gagnez-vous, dites-moi, par journée? — Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes (') : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 61 - Je ne connais que trois manières d'exister dans la société : il faut y être mendiant, voleur, ou salarié. Le propriétaire n'est lui-même que le premier des salariés.
Page 60 - On dirait qu'un petit nombre d'hommes, après s'être partagé la terre, ont fait des lois d'union et de garantie contre la multitude, comme ils auraient mis des abris dans les bois pour se défendre des bêtes sauvages. Cependant, on ose le dire, après avoir établi les lois de propriété, de justice et de liberté, on n'a presque rien fait encore pour la classe la plus nombreuse des citoyens. Que nous importent vos lois de propriété?
Page 266 - L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône. Le financier, riant de sa naïveté, Lui dit : Je vous veux mettre aujourd'hui sur le trône. Prenez ces cent écus ; gardez-les avec soin, Pour vous en servir au besoin.
Page 270 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges, leur vie et leur mort sont entre vos mains ; je m'en vais prendre les voix...
Page 74 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le...
Page 89 - L'on mange ailleurs des fruits précoces; l'on force la terre et les saisons pour fournir à sa délicatesse; de simples bourgeois, seulement à cause qu'ils étaient riches, ont eu l'audace d'avaler en un seul morceau la nourriture de cent familles2. Tienne qui voudra contre de si grandes extrémités : je ne veux être, si je le puis, ni malheureux ni heureux; je me jette et me réfugie dans la médiocrité.