Les élections et les cahiers de Paris en 1789: L'Assemblée des trois ordres et l'Assemblée générale des électeurs au 14 juilletJouaust et Sigaux, 1889 |
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1er mai 28 avril abbé Roy Arch arrêté articles assemblée avaient avocat avril Bailly Bastille Bibl billet brochure Brunville bureau Cahier capitale Chambre charges Châtelet citoyens nobles Clergé Comité permanent commissaires comte Conseil Constitution Corps municipal déclaré délibération demande députés desdits district ecclésiastiques échevins établi États généraux faubourg Saint-Antoine Flesselles gardes françaises gardes-françaises générale des électeurs greffier impôts jour jugement juillet juin l'abbé Roy l'archevêque l'Assemblée générale l'Assemblée nationale l'émeute l'Hôtel l'Ordre ladite Laurent de Villedeuil liberté Lieutenant civil maison Majesté matin membres de l'assemblée ment Messieurs ministre motion Nation Necker Noblesse nomination nommé officiers Ordres Palais-Royal particulier patriotisme personnes peuple police porter premier présent président Prévôt des marchands prisons de l'Abbaye Procès-verbal Bailly-Duveyrier procureur public publique quartier réclame réunis royale royaume rue de Montreuil salle scrutin séance sera serment seront seul sieur Réveillon signé soient suppléants Tiers État Tiers-État tion troupes Versailles voitures voix votants
Popular passages
Page 72 - A CES CAUSES et autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre conseil et de notre certaine...
Page 320 - ... la réforme des abus, l'établissement d'un ordre fixe et durable dans toutes les parties de l'administration, la prospérité générale du Royaume, et le bien de tous et de chacun des sujets de Sa Majesté.
Page 137 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 434 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides...
Page 432 - ... par la presque totalité de la nation, soit enfin parce que la représentation étant une et indivisible, aucun des députés, dans quelque ordre ou classe qu'il soit choisi, n'a le droit d'exercer ses fonctions séparément de la présente assemblée.
Page 432 - L'assemblée déclare donc que l'œuvre commune de la restauration nationale peut et doit être commencée, sans retard, par les députés présents, et qu'ils doivent la suivre sans interruption comme sans obstacle.
Page 334 - Nous prescrivons à nos représentans de se refuser invinciblement à tout ce qui pourrait offenser la dignité de citoyens libres, qui viennent exercer les droits souverains de la nation. L'opinion publique paraît avoir reconnu la nécessité de la délibération par tête, pour corriger les inconvéniens de la distinction des ordres, pour faire prédominer l'esprit public, pour rendre plus facile l'adoption des bonnes lois.
Page 489 - Je vous ai déjà fait connaître mes intentions sur les mesures que les désordres de Paris m'ont forcé de prendre ; c'est à moi seul de juger de leur nécessité, et je ne puis, à cet égard, apporter aucun changement Quelques villes se gardent elles-mêmes ; mais l'étendue de cette capitale ne permet pas une surveillance de ce genre.
Page 356 - L'objet des lois est d'assurer la liberté et la propriété. Leur perfection est d'être humaines et justes, claires et générales, d'être assorties aux mœurs et au caractère national , de protéger également les citoyens de toutes les classes et de tous les ordres, et de frapper , sans distinction de personnes , sur quiconque viole l'ordre public ou les droits des individus.