| François Daniel - 1867 - 476 pages
...Montréal, et même dans la Nouvelle-Angleterre, en Acadie, etc., ayant eu lieu cette année-là, Mr Boucher fait les réflexions suivantes : " Depuis...revoie. C'est ce qui est cause que la plupart des habi" tanls sont pauvres, les Iroquois tuant le bétail, empô'" chant quelquefois de faire les récoltes,... | |
| François Daniel - 1867 - 462 pages
...des atteintes aux Trois-Rivières, dès " le commencement ; mais Dieu nous a tellement con" servés au milieu de ce désastre, que pas une seule " personne...trouvent l'occasion." Cette publication eut l'effet que Mr Boucher s'en était promis : deux ans après arrivèrent les recrues qui avaient été sollicitées.... | |
| 1871 - 1074 pages
...dire à M. Boucher, Gouverneur des Ïrois-Rivières : " Une " femme est toujours dans l'inquiétude que son mari, qui est parti le matin " pour son travail, ne soitpris ou tué, et que jamais elle ne le revoie. C'est " ce qui est cause que la plupart des habitants... | |
| 1872 - 980 pages
...dire à M. Boucher, Gouverneur des Trois-Rivières : " Uno " femme est toujours dans l'inquiétude que son mari, qui est parti le matin ' pour son travail,...tué, et que jamais elle ne le revoie. C'est " ce (|ui est cause que la plupart des habitants sont pauvres, les Iroquois (l)L'an de ces Onnontagués,... | |
| Benjamin Sulte - 1879 - 258 pages
...tués par nos ennemis." M.Pierre Boucher dit de son côté: " Une femme est toujours dans l'inquiétude que son mari qui est parti le matin pour son travail,...revoie. C'est ce qui est cause que la plupart des habitants sont pauvres, les Iroquois tuant le bétail et empêchant quelquefois de faire les récoltes,... | |
| Alphonse Leclaire - 1879 - 696 pages
...côté : " Une femme est toujours dans l'inquiétude que son mari qui est parti le matin pour sors travail, ne soit pris ou tué et que jamais elle ne...revoie. C'est ce qui est cause que la plupart des habitants sont pauvres, les Iroquois tuant le bétail et empêchant quelquefois de faire les récoltes,... | |
| Prosper Cloutier - 1915 - 618 pages
...le matin pour son travail, ne soit (1) Suite, Chronique trifluvienne, 157. (2)1 Charlevoix. 1,354. pris ou tué et que jamais elle ne le revoie. C'est ce qui est cause que !a plupart des habitants sont pauvres; les Iroquois tuent le bétail, empêchent quelquefois de faire... | |
| Lionel Groulx - 1919 - 318 pages
...I'Hôpital.(l) Pierre Boucher qui est aux Trois-Rivières, écrit: "Une femme est toujours dans l'inquiétude que son mari qui est parti le matin pour son travail, ne soit tué ou pris et que jamais elle ne le revoie".(2) Et les bandes iroquoises ne comptent plus leurs barbares... | |
| Séraphin Marion - 1927 - 304 pages
...vous soyiez à votre travail, soit que vous y alliez . . . Une femme est toujours dans l'inquiétude que son mari, qui est parti le matin pour son travail, ne soit tué ou pris, et que jamais elle ne le revoie" (1). Voilà l'exposé de la situation rédigé par un... | |
| Jacques Lacoursiere - 1700 - 96 pages
...colonie, la vie est plus troublée. Selon Pierre Boucher, «une femme est toujours dans l'inquiétude que son mari, qui est parti le matin pour son travail, ne soit tué et que jamais elle ne le revoie». Les faits d'armes accomplis par les femmes ne sont pas rares... | |
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