 | François Barrière, Mathurin Lescure - 1862 - 454 pages
...elle se pencha vers moi avec beaucoup de tendresse. Elle était dans mes bras lorsque je me relevai. Je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému ; elle rougit, mais je ne vis point de cblère dans ses yeux. — « Eh bien ! reprit-elle en « s'éloignant un peu, n'obtiendrai- je rien?... | |
 | Armand-Louis de Gontaut duc de Biron - 1858 - 496 pages
...à ses pieds : — Que ma vie ne peut-elle payer tant de bontés ! Une si généreuse sensibilité ! Elle me tendit la main, je la baisai plusieurs fois...tendresse ; elle était dans mes bras lorsque je me relevai, je la serrai contre mon cœur qui était fortement ému ; elle rougit ,. mais je ne vis pas... | |
 | Armand-Louis de Gontaut duc de Biron - 1858 - 402 pages
...tant de bontés ! (4) VAR., Dois-je. H775| DE MARIE-ANTOINETTE » Une si généreuse sensibilité ! » Elle me tendit la main, je la baisai plusieurs fois...se pencha vers moi avec beaucoup de tendresse; elle étoit dans mes bras lorsque je me relevai, je la serrai contre mon cœur qui étoit fortement ému... | |
 | Edmond de Goncourt - 1859 - 486 pages
...cœur, je me jetai à ses pieds : « Que ma vie ne peutelle payer tantde bontés , une si généreuse sensibilité 1 » Elle me tendit la main ; je la baisai...sans changer de posture. Elle se pencha vers moi avec tendresse ; je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému. Elle rougit, mais je ne vis pas... | |
 | Edmond de Goncourt, Jules de Goncourt - 1859 - 492 pages
...à ses pieds : « Que ma vie ne peutelle payer tantde bontés , une si généreuse sensibilité! » Elle me tendit la main; je la baisai plusieurs fois...sans changer de posture. Elle se pencha vers moi avec tendresse; je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému. Elle rougit, mais je ne vis pas... | |
 | Armand-Louis de Gontaut duc de Biron - 1862 - 472 pages
...jetai à ses pieds.... que ma vie ne peut-elle payer tant de bontés, une si généreuse sensibilité ! Elle me tendit la main , je la baisai plusieurs fois...tendresse. Elle était dans mes bras lorsque je me relevai. Je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému ; elle rougit, mais je ne vis point... | |
 | 1862 - 458 pages
...jetai à ses pieds.... que ma vie ne peut-elle payer tant de bontés, une si généreuse sensibilité ! Elle me tendit la main , je la baisai plusieurs fois...tendresse. Elle était dans mes bras lorsque je me relevai. Je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému ; elle rougit, mais je ne vis point... | |
 | 1862 - 454 pages
...jetai à ses pieds.... que ma vie ne peut-elle payer tant de bontés, une si généreuse sensibilité ! Elle me tendit la main , je la baisai plusieurs fois...tendresse. Elle était dans mes bras lorsque je me relevai. Je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému ; elle rougit, mais je ne vis point... | |
 | Léon de Labessade - 1879 - 362 pages
...à ses pieds : — Que ma vie ne peut-elle payer tant de bontés! Une si généreuse sensibilité! Elle me tendit la main, je la baisai plusieurs fois...beaucoup de tendresse ; elle était dans mes bras quand je me relevai; je la serrai contre mon cœur qui était fortement ému; elle rougit, mais je... | |
 | Edmond Louis A. Huot de Goncourt - 1879 - 520 pages
...pieds : «Que « ma vie ne peut-elle payer tant de bontés, une si « généreuse sensibilité ! » Elle me tendit la main ; je la baisai plusieurs fois...sans changer de posture. Elle se pencha vers moi avec tendresse ; je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému. Elle rougit, mais je ne vis pas... | |
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Une si généreuse sensibilité ! » Elle me tendit la main, je la baisai plusieurs fois avec ardeur sans changer de posture. Elle se pencha vers moi avec beaucoup de tendresse ; elle était dans mes bras lorsque je me relevai, je la serrai contre mon... 
