Revue du Lyonnais, Volume 18L. Boitel., 1859 |
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abbé Annales de Saint-Bertin antiques août armoiries avaient avez avocat avril beau Bernard Biogr Boissieu Boscary de Villeplaine Burgondes Cartulaire César Charles-le-Chauve charte Childéric cité Claude Cluny colonne comte comtes de Forez d'Auguste Debombourg décembre Dieu diplôme discours divinité Dom Bouquet donne duumvir écrit église évêque Feurs février Fonteret Forez Forus Fragment Gaule Godegisèle Gondebaud Gondicaire Grèce Guichenon Hist Histoire hommes impériale inscription j'ai jamais janvier jour juillet juin l'abbaye de Nantua l'abbé l'Académie l'an l'église l'empereur l'histoire l'inscription Laprade lettres littéraire livre Lothaire Lucanus Lugdunensi Lugdunum lyonnaise Mâcon Maximin ment Messieurs milliaire monastère de Nantua Monfalcon monument mort Mure musée Nantuates Notice œuvre Orelli parole pensée peuple pierre place Plancus poésie poète politique premier quæ question quod reste Revue du Lyonnais Rhône rien romaine Roux saint Amand Saint-Vincent savant science Ségusiaves serait seulement siècle Société sujet terre tion titre traduction travail trouve Victor de Laprade
Popular passages
Page 86 - Polycarpe rapportait tout cela de la même manière tout à fait que les saintes Écritures, l'ayant appris de ceux qui avaient vu de leurs yeux le Verbe de vie. Dieu me faisait alors la grâce d'écouter ces discours avec une grande attention, et de les écrire non sur du papier, mais dans mon cœur; et par la miséricorde divine, je les repasse continuellement dans mon esprit.
Page 403 - Que l'immunité avait pour objet non de conférer un droit de juridiction, mais d'imprimer un caractère de souveraineté et d'indépendance aux justices privées vis-à-vis de la justice du comte seulement , quoique plus tard les rois aient été...
Page 19 - Nous formerions avec les Suisses un bataillon carré ; nous « avons au moins huit pièces de canon à notre disposition, « il est vrai que nos canonniers ne sont pas sûrs, mais les « pièces seraient servies par les Suisses. Les rebelles ne « pourront être prêts avant deux heures; je sais que la « route de Rouen est parfaitement sûre. Ce...
Page 407 - ... le renfermèrent dans un cercueil, et se mirent en route pour le transporter au monastère de Saint-Denis , où il avait demandé d'être enseveli. Ne pouvant le porter à cause de l'infection qui en sortait, ils le mirent dans un tonneau enduit de poix en dedans et en dehors, et enveloppé de cuir; ce qui ne put en ôter la puanteur. Arrivés avec peine à une certaine chapelle de moines de l'évêché de Lyon que l'on appelle Nantua , ils le mirent en terre avec le tonneau qui le renfermait.
Page 467 - Dépositaire des plus nobles débris de l'ancienne civilisa« tion, elle ne dédaignait point de recueillir, avec la science « elles arts de l'esprit, la tradition des procédés mécaniques « et agricoles. Une abbaye n'était pas seulement un lieu de « prière et de méditation, c'était encore un asile ouvert « contre l'envahissement de la barbarie, sous toutes ses
Page 455 - En i858 il donnait au public une nouvelle édition de la. Recherche des antiquités et curiosités de la ville de Lyon par Jacob Spon en y joignant des notes dont quelques-unes sont de véritables mémoires, par exemple celle qui est relative à G.
Page 527 - Auteur d'ouvrages sur les matières médicales et littéraires, né à Saint-Amour (Jura), le 24 mai 1792, mort à Lyon, le 22 novembre 1851.
Page 403 - Il prouve que la terre privilégiée était soustraite à la juridiction ordinaire du comte pour tous les cas sans exception , et placée directement sous la protection spéciale et le mundium du roi...
Page 219 - ... ront tes chefs-d'œuvre, il n'ya personne, pour peu qu'il « ait de sens, qui veuille te ressembler. Tu passeras pour « un vil artisan, un homme qui vit du travail de ses mains.
Page 188 - ... de la croix, et quelquefois peut-être avec un peu de fougue, ce drapeau de la liberté , drapeau puissant et séducteur, qui entraîne aisément les peuples, et que même des hommes tels que vous ne suivent pas sans quelque péril et pour la cause qu'ils veulent servir, et pour euxmêmes. Mais dès que le péril vous a été signalé , soit par votre propre raison, soit par l'autorité suprême de l'Église, vous vous êtes retiré, vous vous êtes soumis, Monsieur, avec cette belle docilité...