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Alain Fergent ammoniaque antiques arcades arrêté Arrondissement de Nantes avaient avons azotique bas-côté bâtiments bientôt Bretagne briques catacombes chapelle château du Bouffay chevet chlorure chlorure de sodium chœur chrétiens cœur collègue COMMUNE Conan conseil construction côté d'épaisseur d'Osnabruck devait donner eaux pluviales effet église enfin époque établi façade fenêtre ogivale fenêtres plein-cintre forme gallo-romaines hauteur hommes j'ai jour l'église Sainte-Croix l'histoire l'un largeur litre Loire longueur Machecoul Madelon maire maison Mellinet ment Messieurs mètre cube Meuret microzoaires monnaie monuments mort Möser murailles Namnètes Nantes nombreux Nord Ogée ogivale trilobée Paimbœuf paroissiale pierre debout place du Bouffay planche Poissonnerie Pornic port Sicor Port-Maillard Pouchet première prison prison du Bouffay Ptolémée Ratiate rectangulaire recueillies religieux résidu reste Rezé romaine Rome ruines saint Saint-Père-en-Retz Samnites science Section serait seulement société souvent surtout tion tour transept travaux tribune trouve tumulus Udomètre voûtes XIIIe siècle XVe siècle
Popular passages
Page 179 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le faix de mes jours languissants, Aux douces lois des vers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. Ces chants, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelque amant des loisirs studieux Chercher quelle fut cette belle...
Page 214 - Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche, Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler. Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler.
Page 179 - Est-ce à moi de mourir! Tranquille je m'endors , Et tranquille je veille ; et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux ; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 179 - Philomèle chante et s'élance. Est-ce à moi de mourir! Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille; et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bien-venue au jour me rit dans tous...
Page 214 - Le vrai Dieu, le Dieu fort est le Dieu des idées! Sur nos fronts où le germe est jeté par le sort, Répandons le savoir en fécondes ondées; Puis, recueillant le fruit tel que de l'âme il sort, Tout empreint du parfum des saintes solitudes, Jetons l'œuvre à la mer, la mer des multitudes : — Dieu la prendra du doigt pour la conduire au port.
Page 126 - ... encore. En y regardant bien , vous reconnaîtrez des contours humains : ce petit tas , qui touche à une des extrémités longitudinales de la niche, c'est la tête; ces deux autres tas , plus petits encore et plus déprimés, placés parallèlement un peu au-dessous, à droite et à gauche du premier, ce sont les épaules ; ces deux autres , les genoux. Les longs ossements sont représentés par ces faibles traînées, dans lesquelles vous remarquez quelques interruptions. Ce dernier calque...
Page 127 - Hier j'ai visité les grandes Catacombes Des temps anciens; J'ai touché de mon front les immortelles tombes Des vieux chrétiens : Et ni l'astre du jour, ni les célestes sphères, Lettres de feu, Ne m'avaient mieux fait lire en profonds caractères Le nom de Dieu. Un ermite au froc noir, à la tête blanchie, Marchait d'abord, (1) L'auteur a indiqué l'air : Le Fil de la Vierge (par Scudo).
Page 126 - Les longs ossements sont représentés par ces faibles traînées dans lesquelles vous remarquez quelques interruptions. Ce dernier calque de l'homme, cette forme si vague, si effacée, à peine empreinte sur une poussière à peu près impalpable, volatile, presque transparente, d'un blanc mat et incertain, est ce qui donne le mieux quelque idée de ce que les anciens appelaient une ombre. Si vous introduisez votre tête dans ce sépulcre pour mieux voir, prenez garde : ne remuez plus, ne parlez...
Page 125 - En parcourant celles-ci, vous passez en revue les phases de la destruction , comme on observe, dans un jardin botanique, les développements de la végétation, depuis la fleur imperceptible, jusqu'aux grands arbres pleins de sève et couronnés de larges fleurs. Dans un certain nombre de niches sépulcrales qui ont été ouvertes à diverses époques , on peut suivre , en quelque sorte, pas à pas, les formes successives, de plus en plus éloignées de la vie , par lesquelles ce qui est là arrive...
Page 129 - C'est là qu'à chaque pas on croit voir apparaître Un trône d'or , Et qu'en foulant du pied des tombeaux je crus être Sur le Thabor...