| Louis Abelly - 1823 - 406 pages
...méchaus haillons dont ils sont couverts, pour les avaler ; mais ce que nous n'oserions dire si ne nous l'avions vu, et qui fait horreur, ils se mangent les...cents malades , sans parler de la pauvre noblesse et des-:pauvres honteux de la ville, dont le nombre augmente chaque jour. « Les missionnaires qui furent... | |
| René François Rohrbacher - 1847 - 650 pages
...que npus voyons les hommes ' Mémoires de La Porte. An 1605-1650, § 4.] DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE. 373 mangeant la terre , broutant l'herbe, arrachant l'écorce...les bras et les mains, et meurent dans ce désespoir ' . » • • . • , v * Tel était , et tel fut pendant près de dix ans , jusqu'à la paix des... | |
| 1858 - 398 pages
...couverts pour les avaller ; mais ce que nous n'oserions dire t si nous ne l'avions veu et qui faict horreur, ils se mangent » les bras et les mains et meurent dans le désespoir. Nous avons » trois mille pauvres reffugiez, cinq cens malades, sans compter • la... | |
| René François Rohrbacher - 1859 - 720 pages
...fait sortir ; ils se sont réfugiés ici. Il y est venu près de quatre cents malades, et la ville, qui ne pouvait les assister, en a fait sortir la moitié,...les bras et les mains, et meurent dans ce désespoir ». » Tel était, et tel fut pendant près de dix ans, jusqu'à la paix des Pyrénées, l'état de... | |
| Henri-Léonard Bordier, Édouard Charton - 1860 - 620 pages
...arrachant l'écorce des arbres, déchirant les méchants haillons dont ils sont couverts pour les avaler. Ce que nous n'oserions dire si nous ne l'avions vu,...bras et les mains, et meurent dans ce désespoir... Il ne se passe point de jour qu'il ne meure plus de deux cents personnes de faim clans les deux provinces.... | |
| Henri Léonard Bordier, Édouard Charton - 1862 - 624 pages
...arrachant l'écorcc des arbres, déchirant les méchants haillons dont ils sont couverts pour les avaler. Ce que nous n'oserions dire si nous ne .l'avions vu,...bras et les mains, et meurent dans ce désespoir... Il ne se passe point de jour qu'il ne meure plus de deux cents personnes de faim dans les deux provinces.... | |
| Eugène Bonnemère - 1864 - 576 pages
...demeurés sont en telle nudité, qu'ils n'osent se lever de dessus leur paille pourrie pour venir nous trouver. » La famine est telle, que nous voyons les...bras et les mains, et meurent dans ce désespoir. » Les contrées où Vincent, ses missionnaires et ses dames de charité ont porté les bienfaits de... | |
| Eugène Bonnemère - 1886 - 496 pages
...ils sont couverts pour les avaler. Mais, ce que nous n'oserions dire si nous ne l'avions vu, et ce qui fait horreur, ils se mangent les bras et les mains, et meurent dans ce désespoir. » Reims, Réthel, Sainte-Meueliould, Châlons. — « En arrivant de Paris, il n'ya point de langue... | |
| Adolphe-Joseph de Mondenard, France - 1889 - 462 pages
...exprimer. Si la cruauté des soldats leur a fait chercher les bois , la faim les en a fait sortir. . . » La famine est telle que nous voyons les hommes mangeant...bras et les mains et meurent dans ce désespoir.- » D'où venait, encore une fois, cette misère à l'état chronique? Du brigandage des gens d'épée,... | |
| Ernest Lavisse - 1905 - 420 pages
...vie ». Dans les campagnes, disent-ils, les hommes mangent de la terre, des écorces, des haillons, mais « ce que nous n'oserions dire si nous ne l'avions...bras et les mains et meurent dans ce désespoir... » La peste suivait les armées à travers le royaume. Après un combat livré en Champagne entre Saint-Etienne... | |
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